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Adoption ou kidnapping ?


Imaginez : vous êtes un tout petit chiot, blotti contre votre maman et vos frères et sœurs toute la journée. Vous passez vos journées à jouer, mordiller, dormir bien au chaud. La vie est douce, rassurante.


Puis soudain, un grand inconnu (un humain !) vous emmène loin de tout ce que vous connaissez… et vous voilà seul, dans une caisse, pour la toute première fois.

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Pendant que votre nouvel humain est super excité, vous, vous êtes surtout perdu et un peu paniqué. Et là, tout ce que vous faites semble interdit : mâcher ? Non. Aboyer ? Non. Faire pipi ? Surtout pas. Du cocon familial à un monde plein de règles… ça fait beaucoup d’un coup.


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Et si on rendait cette période plus douce, pour tout le monde ?

L’arrivée d’un chiot ne doit pas forcément rimer avec stress, dégâts et nuits blanches. Mais pour ça, il faut changer un peu de perspective.


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Imaginez que vous venez d’« adopter » un petit alien venu de la Planète Chien. Il ne parle pas votre langue, ne comprend pas vos habitudes, et doit tout apprendre. Si vous gardez ça en tête, vous serez naturellement plus patient, plus compréhensif.


Un chiot qui pleure dans sa caisse ne cherche pas à vous tester. Il a juste besoin de réconfort. Il existe plein de solutions douces pour l’accompagner : le laisser dormir près de vous, lui créer un espace douillet, ou même passer quelques nuits sur le canapé à ses côtés.


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Découvrir le monde ensemble

Un chiot a besoin d’explorer, de sentir, de creuser, de faire des pauses. Une balade trop cadrée, sans liberté ni curiosité, ne lui permet pas de « faire le chien ». Laissez-lui le temps de découvrir son environnement à son rythme.


Et à la maison ? Évitez de l’isoler dans un coin ou de le laisser se balader sans repères. Mettez en place des espaces « ensemble mais chacun son coin » avec des barrières ou des zones bien définies. Il pourra participer à la vie de famille… sans tout mettre sans dessus dessous.


En résumé : bienveillance, patience, prévention

Votre chiot fera des bêtises — c’est inévitable. Mais plus vous serez à l’écoute, plus vous anticiperez, plus vous poserez les bases d’une relation forte, joyeuse et durable.

Les tapis se nettoient. La confiance, elle, se construit.


Et surtout : cette phase ne dure pas éternellement… alors autant en faire une belle aventure, pour vous deux !


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Merci à Kathy Callahan, autrice du livre « Welcoming your Puppy from Planet Dog »

De plus en plus j'ai l'impression que les propriétaires des chiens on des problèmes avec la laisse, dans ce petit texte ma copine Federica donne une idée de comment moi je vois la laisse.


January 2024 by Federica Gotti


Utiliser correctement une laisse n'est pas si simple, il faut de l'entrainement et une bonne capacité de se mettre à la place de l'autre.


On ne tire jamais sur la laisse.


Sortit notre chien en laisse devrait nous rappeler le geste de prendre quelqu'un par la main, l'accompagner, être là en cas de besoin.


Jamais l'obliger, jamais utiliser la force.


Par rapport à notre façon d'utiliser la laisse on peut avoir un chien qui nous fait confiance ou, au contraire, qui ne se sent pas en sécurité et qui veut prendre de la distance.


Développer une bonne communication est la base pour rendre l'espace de la laisse un espace sûr et agréable pour notre chien.

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Avoir un chien, ce n’est pas posséder.

Avoir un chien, c’est être.

Ce n’est pas être « propriétaire ».

C’est être « responsable ».

Ce n’est pas être « maître ».

C’est être « partenaire ».

Le vrai « maître », c’est le chien.

Pas parce qu’il nous domine, mais parce qu’il nous enseigne.

Avoir un chien, c’est exister.

C’est exister pour un être qui n’a d’yeux que pour vous. Qui ne vit que pour vous.

Ce n’est pas céder à un « il est trop mignon », à un caprice ou à une pulsion.

Même s’il en faut un peu, du caprice.

Il faut être capricieux envers soi-même pour avoir le courage de sauter le pas, de se dire un jour « je ne serai plus un. »

Deux, on peut l’être pendant plus de 15 ans.

Il faut une part de courage pour décider d’avoir deux ombres pendant si longtemps.

Mais avoir un chien, ce n’est pas

« je prends ce qui m’arrange ».

Ce n’est pas prendre le mignon, la douceur et l’affection, et faire abstraction du reste.

Ce n’est pas demander à un animal d’être une peluche ou un robot.

C’est accepter l’imperfection.

C’est se faire à l’idée que tous les chiens ne sont pas exactement comme on les avait rêvés.

C’est s’adapter à lui autant que lui fait d’efforts pour s’adapter à nous.

C’est apprendre à le comprendre et même à l’anticiper.

C’est lâcher son écran pour lancer une balle. C’est enlever ses chaussons et mettre ses chaussures.

C’est quitter sa couette pour sortir dans le froid et sous la pluie.

C’est ramasser des crottes, éponger des vomis ou d’éventuels pipis.

C’est aller chez le vétérinaire de nuit, un jour férié. C’est faire face aux contrariétés, de la bêtise la plus anecdotique à la douleur la plus insurmontable.

C’est dépasser les incompréhensions en se donnant les moyens de bâtir une relation forte, saine et harmonieuse.

Et digne, jusqu’au bout.

Avoir un chien, c’est avoir ce que les autres appellent des « contraintes ».

Mais avoir un chien, c’est être convaincu que ce que les autres appellent des « contraintes »... n’en sont pas.

Parce que tout ce qui peut être considéré comme une contrainte est précisément ce dont le chien a besoin.

Par amour, il faut répondre à ces besoins.

Et aucune preuve d’amour sur Terre n’est une contrainte.


Auteur anonyme

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